samedi 5 janvier 2019

AVATAR/ HYBRIDATION



"Après tout le mot "art" signifie étymologiquement "agir", non pas "faire" mais "agir". A la minute où vous agissez vous êtes un artiste […]. En d’autres termes, art signifie action, activités de toutes sortes […]. Mais nous, dans notre société, nous avons décidé de distinguer un groupe appelé "artistes", un groupe appelé "docteurs", et ainsi de suite, ce qui est purement artificiel." 

 Marcel Duchamp 

Un avatar est un personnage représentant un utilisateur sur Internet et dans les jeux vidéo. À l’origine, il s'agit de l'incarnation numérique d’un individu dans le monde virtuel d'un jeu en ligne. Par extension ce terme est arrivé dans les forums de discussions puis dans le langage courant, il désigne alors le pseudonyme utilisé sur les sites internet et les réseaux sociaux;

L'hybridation c'est un corps qui a deux parties ou plusieurs parties qui est donc confronté à la multiplicité. C'est un corps qui peut être des deux sexes ou bien de plusieurs espèces différentes.
Il a donc une identité multiple et peuvent passé d'une espèce à une autre et être compris de ses différentes espèces. ( exemple le minotaure).

le sujet a rendre pour le 25 Février:

- Créer un personnage avatar/hybride (entre l'imposteur et le monstre)
- avec une identité, une forme, un costume ( ou même une garde-robe), un décor
- Ce personnage doit avoir un compte instagram ou autre réseau et doit trouver une communauté à laquelle s'intégrer.
- Le but étant de réfléchir a une a son identité de créateur ou futur créateur
     


les références:
https://www.lesabattoirs.org/pdf/mediation/1803-mediation-Avatars.pdf

https://www.franceculture.fr/oeuvre-les-avatars-du-corps-une-hybridation-somatechnique-de-bernard-andrieu


Orlan
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https://psychanalyse-map.org/2014/11/24/la-folie-du-voir-de-lartiste-orlan/
ORLAN est une artiste contemporaine française dont le travail inclut performance, photographie, multimédia, vidéo, sculpture, réalité augmentée… Figure de proue du Body Art actuel, elle est notamment célèbre pour son usage de la chirurgie esthétique (1990-1993) et ses Self-Hybridations (1994-en cours). Ceci est mon corps… Ceci est mon logiciel(1996) : le travail d’ORLAN embrasse des pans entiers du rapport au corps, à sa beauté. Et ce, au fil des époques, des aires géographiques et des cultures. Son travail interroge ainsi la formation de la subjectivité et des conventions, au sein d’un corps et d’un contexte donnés. Le récit et la narration sont d’ailleurs parties intégrantes de son œuvre, jusque dans la création de son nom. Ressuscitée d’entre les mortes après être descendue aux enfers, elle incarne, dans son corps glorieux, une histoire collective et syncrétique du corps contemporain. Artiste internationale, l’œuvre d’ORLAN est exposée dans le monde entier.


Hubert Renard

Pour Hubert Renard, être artiste aujourd’hui, c’est être reproduit, c’est avoir des catalogues de ses œuvres, des articles dans les revues, un site Internet… Aussi va-t-il employer la documentation au service d’une "imposture", d’un montage de toute pièce : il va se dédoubler et projeter l’artiste Hubert Renard, son avatar, dans un monde de l’art en décalage d’une dizaine d’années ; un recul qui, paradoxalement, va lui permettre d’être en avance sur son temps. Ici, tout est fictif sauf les publications qui ont l’apparence de vrais catalogues d’exposition : textes de présentation, biographie de l’artiste, bibliographie critique, reproductions et notices des œuvres exposées…


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Stille Gesten
Hubert Renard

Rennes, Éditions Incertain Sens, 2001.

Catalogue de l'exposition fictive d'Hubert Renard à la "Kunsthalle de Krefeld" en 1990. 
Le célèbre artiste poursuit sa carrière en explorant l'espace entre la réalité et la représentation. L'exposition a été conçue comme un croisement des chemins: certains volumes ressemblant en apparence aux formes abstraites du minimal art peuvent être lus comme des représentations de l'espace architectural de la galerie, alors que les macrophotographies représentant les bourgeons des plantes peuvent être interprétées comme des compositions abstraites. Réévaluations des schémas interprétatifs de l'art récent. Dessins, photos et clichés des œuvres de l'exposition.


Steven Cohen

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Performer, chorégraphe et plasticien, Steven Cohen investit, avec le danseur Elu, les galeries d'art comme les lieux publics pour présenter des projets associant sculpture, travestissement, performance et danse contemporaine. Véritable coup de poing sur la scène artistique sud-africaine, le travail de Cohen et Elu propose un nouveau regard sur leur pays et met en avant les contradictions de la société post-apartheid. Ainsi des spectacles comme 'Kuku Dance' en 2000 ou 'Chandelier' en 2002 interrogent sans ménagement et avec insolence la question raciale ainsi que le regard porté sur l'homosexualité. Reconnu sur la scène internationale, Steven Cohen, toujours avec Elu, crée le spectacle 'I Wouldn't Be Seen Dead with That' à La Rochelle en 2003. Présenté en 2009 en France, le spectacle 'Golgotha' vient interroger la question du deuil et du commerce de la mort, un oeuvre sombre et violente imaginée suite au suicide de son frère. Anticonformistes, provocatrices, les créations de Steven Cohen ne laissent pas indifférent, rien de surprenant chez un artiste dont le but affirmé est de "provoquer les questions" plutôt que "de fournir des réponses".

LISA BUFANO 
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LA BIOGRAPHIE

Lisa Louise Bufano est une artiste et une interprète originaire de Boston, au Massachusetts, qui utilise souvent des prothèses et des accessoires dans son travail. 
Lisa était une gymnaste de compétition quand elle était enfant et une danseuse à la fac au collège. Après une infection bactérienne qui lui a amputé les pieds et les doigts à l'âge de 21 ans, Lisa s'est lancée dans l'animation en stop motion et la sculpture à l'école du Museum of Fine Arts de Boston. 


Raphaelle Paupert-Borne



http://www.documentsdartistes.org/artistes/paupert-borne/images/Carnet35.pdf

Fafarelle vêtue d'un grand manteau et d'un bonnet en fourrure synthétique rouge écarlate, le tout agrémenté de grelots..., porte sa maison dans un sac en plastique, en sort son tapis arabe pour y faire un numéro de plateaux chinois...
Fafarelle est aussi le personnage de mes peintures.
Fafarelle est ce que j'aurais été dans un théâtre de village aujourd'hui disparu. Inspirée du clown qui n'a comme expression que des actions quasi muettes, des rituels africains qui théâtralisent la vie quotidienne, de Dada et ses gestes ?gratuits?, ce clown est déplacé, de la scène vers les arts plastiques.
Son vécu habite la peinture et les tableaux tiennent lieu de répétition pour mes spectacles.
La peinture me permet de le sortir, de le promener dans la campagne. Visiteur dans un espace public ou familial, il donne la mesure des situations vécues et dans les peintures il est l'échelle dans le paysage. Déplacer Fafarelle dans un décor peint ou un extérieur et le présenter ainsi aux spectateurs.
Peindre...
Je m'approprie des techniques, j'emprunte les styles ou les figures de peintres en fonction de ce qui résonne pour moi dans leurs tableaux.
Du quattrocento italien, les personnages portraitisés qui envahissent le tableau alors que le paysage existe néanmoins et les caractérise.
De Giotto, la simplicité et la spiritualité des personnages et de la couleur. Des modernes, la frontalité et la rudesse des moyens.

Raphaëlle Paupert-Borne, 1998


matthey Barney

Fig. 4 : Matthew Barney, CREMASTER 4, 1994
Matthew Barney, CREMASTER 4, 1994

 Dans Cremaster 4, le personnage hybride du Loughton Candidate doit son apparence en grande partie aux prothèses et au maquillage, mais également à son travestissement en satyre-dandy, selon le principe d’après lequel le corps et l’esprit veulent surpasser leur condition. Le Loughton Candidate tente de se maintenir dans un état d’indétermination sexuelle, entraînant la construction d’un corps dans lequel se côtoient des éléments à la fois féminins et masculins, mais aussi humains et animaux. Cette volonté apparaît dès le début du film lorsque, face au miroir, il découvre ses embryons de cornes, qu’il doit maintenir dans cet état s’il veut conserver son statut intermédiaire. Tout comme celle des trois Faeries qui l’accompagnent, son apparence, bien que modifiée à l’aide de maquillage, prothèses et costumes, pourrait relever d’une intervention chirurgicale ou d’une modification génétique s’inscrivant dans l’esthétique d’un imaginaire mythique et monstrueux. Barney a d’ailleurs parfois été comparé à un néo-surréaliste étrange, jouant avec les peurs humaines des modifications génétiques et des monstres mutants21. Il développe un fantasme utopique d’un monde développé à partir d’un système sexuel pouvant être modifié à merci. Devant cette profusion d’espèces étranges et souvent inconnues qui défilent sur les écrans et apparaissent sur les photographies, l’art ne peut que rencontrer la biologie et l’artiste devient le biologiste créateur de ces êtres visionnaires qui viennent contrarier la signification du terme nature pour mieux nommer la folie de la génération cyber-biologique22. Ces corps qui n’étaient que pure anticipation et imaginaire dans les décennies 1960 et 1970, font désormais partie de notre environnement contemporain et de notre monde post-humain23, des corps modifiés par les nouvelles technologies, siliconés, améliorés à l’aide de prothèses qui relèvent à la fois du réel et de l’artificiel comme du biologique et du mécanique24.

https://journals.openedition.org/entrelacs/343

Rokudenashiko
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https://www.actuabd.com/L-art-de-la-vulve-une-obscenite-la-question-rhetorique-mais-pertinente-de

Cindy Sherman
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http://www.jeudepaume.org/index.php?page=article&idArt=156


PHIA MENARD

https://www.franceculture.fr/personne-phia-menard

OLIVIER SAGAZAN

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https://www.youtube.com/watch?v=m4vlwmzBqKY&feature=youtu.be

dimanche 7 octobre 2018

EMPATHIE

"Capacité de s'identifier à autrui, d'éprouver ce qu'il éprouve."

L'empathie permet de comprendre le corps à la croisée des approches culturelles et physiologiques.

Les expériences esthétiques reposants sur les évocations corporelles de l'empathie mettent en avant les articulations entres ces deux approches:

- sans corps biologiques, pas d'expériences esthétique.
- sans corps éthique, pas d'expériences esthétique

http://temporel.fr/Empathie-et-oeuvre-d-art
http://le-monde-de-lucha.over-blog.com/2014/08/la-definition-de-l-empathie.html

Ce sujet doit avoir pour rendu une série d'image ou une petit vidéo et sera un travail à faire par groupe de deux.

Dans l'art contemporain plusieurs artistes on ainsi essayé de s'identifier à autrui, à la nature, l'animal ou bien rentrer dans l'intimité de personnes inconnus, nous allons en voir une sélections de références:





" le jeune couple' Ron Mueck 2013
Deux adolescents blottis l’un contre l’autre paraissent vivre le parfait amour. Ils ne se regardent pas mais le jeune homme semble faire une confidence à celle qui se tient près de lui. Ils ont l’air si vivants...

L’artiste australien Ron Mueck, réalise dans son atelier londonien des sculptures plus vraies que nature.

En quête d’un rendu hyperréaliste, il travaille de manière minutieuse les détails de ses personnages. Les volumes du corps, les couleurs, la texture de la peau et ses imperfections, tout est recréé artificiellement avec une précision photographique.
Pour parvenir à cette illusion du réel, Ron Mueck utilise du silicone et de la peinture à l’huile. Une illusion parfaite… à un détail près.



Philippe RAMETTE, Exploration Rationnelle des Fonds Sous-marins : la Sieste, 2006.
Photographie couleur, 150 x 120 cm.

Surtout connu pour ses photographies où il se met en scène dans des situations improbables, Philippe Ramette expérimente et propose des points de vue décalés sur le monde. Entrer dans une exposition de Philippe Ramette, c’est entrer dans un univers qui questionne la réalité dans ce qu’elle admet de plus tangible et de plus physique. Chez Philippe Ramette, le dessin s’apparente à l’esquisse d’une vision mentale, souvent en lien avec le travail préparatoire. Conséquemment, les sculptures à échelle 1 marquent la volonté d’une mise en abîme d’une expérience possible. Et de fait, tout dans l’œuvre de l’artiste fait écho au quotidien. L’artiste se nourrit du trivial pour en dégager les failles, pour proposer des associations inhabituelles et montrer la précarité et la fragilité des codes qui régissent la vie terrestre. Rationaliser l’irrationnel, défier le monde et rendre possible les détournements qu’il dessine, voilà ce qui semble définir l’entreprise de Ramette.


http://www.tanzforumberlin.de/en/production/title-in-process-low-pieces/
"Low pieces" 2011 Xavier Leroy chorégraphe

Xavier Le Roy, danseur et chorégraphe, enveloppe la chair sensible de son spectacle “Low Pieces” dans deux quarts d’heure d’échanges verbaux directs avec le public. À l’image des conversations sur Twitter, les commentaires y fusent de façon décousue engendrant des amorces de discussions, vite remplacées par l’émergence d’un autre gazouillis venu d’ailleurs. Ces scènes d’introduction et de conclusion, où les danseurs, tous présents, interviennent dans leur tenues de ville, font déborder les rives habituelles du dispositif théâtral et déstabilisent la posture attendue du spectateur. Elles le déplacent sur un point de vue qui mêle sensation d’interpellation individuelle et prise de conscience de la présence du groupe. Ces instants d’interactions qui ouvrent et ferment le spectacle, moments inévitablement approximatifs et ténus, contrastent avec le contenu de l’acte dansé qu’ils encadrent. En le délimitant prosaïquement, il lui confèrent un statut décalé, comme un haïku écrit entre crochets.
Ponctuée par des respirations d’une noirceur totale et d’un silence complet, la chorégraphie projette des scènes où les corps nus se meuvent dans un espace vide et un temps sans musicalité. Toujours à genoux, assis ou couchés, les danseurs détournent la mécanique quotidienne du corps humain pour en exercer des aspects moins usités. À rebours des anthropomorphismes et de la verticalité, ils incarnent les formes et les mouvements de figures hybrides, qui suscitent un sentiment étrange de familiarité. Silencieusement, l’humanité semble se repositionner dans une affiliation ancestrale, encore génétique, avec les autres formes de vie. Xavier Le Roy forme des tableaux vivants dont les odalisques mouvantes renouent avec l’art pictural néo-classique du portrait nu de dos à demi-allongé. Le corps en soi est mis en scène de façon contemplative, et parle de la nature humaine, de son rôle dans le monde, plus profondément encore que ne le ferait des gros plans sur des visages muets.
Bouquet de nudités, nués de mouettes, scènes de troupe de félidés, dos immobiles de galets, Xavier Le Roy développe sa thèse avec la rigueur du transfuge des sciences biologiques qu’il a été. Chercheur en discipline artistique, il met en scène une proposition exigeante, à la beauté âpre, où la forme découle directement de la méthode de création utilisée. Les explorations fonctionnelles du corps humain qu’il réalise, restaure notre conscience de la plasticité physique et comportementale de l’humanité et ravive les prémisses de sa capacité, devenue mythique, à se transformer. La mise en valeur de la dimension sociale, collective, des modèles de comportements, qui s’opère également dans la relation instaurée avec le public, indique un élément clé des conditions de ses transformations. C’est dans les interactions avec la collectivité que se trouvent les points de fixation de nos attitudes et de nos représentations, et c’est aussi dans ces liaisons que résident le potentiel de notre aptitude à l’évolution.
 Jean-Christophe Carius
"Actions-peu Boris Achour 1993/1997
Les actions-peu sont des interventions anonymes et éphémères réalisées dans l’espace public, le plus souvent avec des éléments trouvés sur place. Les premières ont été photographiées et présentées sous forme de diaporama. À partir de 1995, elles ont été filmées en vidéo.
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Alexa Meade "exposure" 2009
Alexa Meade est une artiste américaine intéressée par le fait de brouiller les pistes entre réalité et illusion.
Elle peint ainsi gens et objets de manière à créer des "tableaux vivants".
Elevated Rectangle Landscape, 2016 & Grey White Pink Clock, 2013. Photo Stefan Altenburger. © Ugo Rondinone

Ugo Rondinone dans ses expositions crée pour le spectateur un rapport tout à fait particulier au temps et à l’espace. L’exposition devient un espace scénique à la fois mental et sensible où le temps est suspendu. 


eva-hesse_whitney
Eva Hess Expanded Expansion, 1969. Whitney Museum of American Art, New York
http://mediation.centrepompidou.fr/education/ressources/ENS-antiforme/ENS-antiforme.htm

Less than by Robert Morris
"less than3 Robert Morris 2005 cloître San Domenico de reggio
Emilia Italie
(...) la figure centrale de cette oeuvre s'impose au spectateur comme un corps. un corps puissant, entièrement concentré sur son essentialité de corps, un corps d'autant plus corps qu'il est démuni de tête. En disant le corps Morris dit l'humain, sont incomplétude sa finitude.

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Barbara Kruger l'empathie peu changer le monde 2005
"Je fais ceci pour le spectateur qui peut réfuter le "tu", l’accepter ou dire : Ce n’est pas moi mais je pourrais le connaître". B. Kruger
Cette œuvre à l'échelle de l'architecture est monumentale et si elle s'y intègre en n'ajoutant pas de contraste par l'apport d'autres matériaux, en revanche elle s'en différencie radicalement par le contenu critique induit. La force des slogans n'est plus à démontrer, et ici, l'artiste a donné une ampleur à son œuvre, grâce à une complexité qui permet de faire jouer plusieurs registres. Revendiquant un rôle actif dans la société par la mise en cause de stéréotypes sociaux de domination et d'aliénation, elle n'hésite pas à s'adresser ouvertement à tous ceux qui passent.
Il y a dans cette œuvre une certaine violence qui est en partie due au fait que le processus de différenciation, - soi et le monde, soi et l'autre – est déjà lui-même violent. Et pourtant, son effet sur autrui n'est pas prévisible (à quel moment, combien de temps).
En 2007, lors des travaux de restructuration de la gare SNCF, l'œuvre originelle a malheureusement subi de nombreuses dégradations et amputations : sérigraphie, panneaux d'affichages publicitaires déroulants, butons avec inscriptions gravées.
Certains de ces éléments ne sont désormais plus visibles.
Autres artiste à voir: damien hirst, peter Doig, Gilles Barbier, Sophie Calle, Maurizio Catelan, Anette Messager